COMMENT LA STRATÉGIE VIDÉO DE LA SOCIÉTÉ DE MUSIQUE DE CHAMBRE A PORTÉ SES FRUITS

En tant que directeur du contenu numérique pour la Chamber Music Society at Lincoln Center, Trent Casey produit à peu près tout, des diffusions en direct aux séries radiophoniques avec des auditeurs du monde entier. Bien avant tout cela, Casey était chanteur d'opéra. Grâce à ses nombreux talents, la Chamber Music Society a pu exploiter tout le potentiel de la vidéo pour établir un lien avec le public grâce au pouvoir de la musique.

Contrairement à certaines organisations artistiques, la Société de musique de chambre diffuse des concerts en direct depuis bien avant 2020. "J'ai produit notre toute première diffusion en direct en 2010 avec une seule caméra branchée sur un ordinateur portable dans notre petite salle de 100 places. Aujourd'hui, nous produisons 25 à 30 flux en direct, ainsi que l'enregistrement et la postproduction de 40 concerts supplémentaires chaque saison", explique M. Casey. "Nous étions déjà très investis dans la diffusion en continu, mais cette année, la diffusion en continu a été une véritable bouée de sauvetage.

Par coïncidence, Casey devait produire un concert en direct le soir même où la ville de New York a annulé toutes les représentations en mars dernier. Et comme le dit l'adage, le spectacle doit continuer. "Nous avons continué avec le streaming, mais nous n'avions pas de public en personne. Depuis, avec une vidéothèque de plus de 1 000 représentations, conférences et masterclasses, Casey et son équipe ont pu "remixer" leur vidéothèque pour créer de "nouveaux" concerts.

VOUS VOULEZ PLUS D'ENGAGEMENT ? DEMANDEZ-LE.

L'année dernière, la Chamber Music Society a diffusé un nouveau concert chaque dimanche soir pendant 14 semaines. "Ces concerts étaient organisés par nos directeurs artistiques. Certains d'entre eux étaient accompagnés de courts-métrages mettant en scène nos musiciens et expliquant comment ils ont fait face à cette période. Chacun de ces concerts s'est terminé par une séance de questions-réponses en direct", explique Casey. Le passage d'une vidéo préenregistrée à une séance de questions-réponses en direct avec le public a également contribué à créer un sentiment de connexion. "Lorsque nous avons demandé aux gens d'envoyer leurs questions tout au long de l'émission, nous avons reçu des questions. Cela nous a permis de nous sentir plus proches de notre public numérique que jamais", explique-t-il. "Si vous demandez de l'engagement, vous obtenez plus d'engagement. Nous avons constaté une augmentation significative du trafic sur le web, et les émissions en direct ont reçu plus de dons qu'elles ne l'avaient jamais fait auparavant.

UNE PLATEFORME VIDÉO EST UNE SCÈNE MONDIALE

Après une année complète de diffusion en continu, la Société de musique de chambre a également acquis de nouvelles connaissances grâce à l'analyse vidéo de Brightcove. Après avoir réfléchi à toutes les mesures potentielles à suivre, Casey et son équipe ont décidé de se concentrer principalement sur le temps de visionnage. Nous avons vraiment résumé la question en disant : " Combien de personnes viennent sur notre site Web et regardent notre contenu ? L'analyse de ce type d'informations est vitale. Les gens restent. Le temps de visionnage est fantastique, et c'est l'objectif ultime", déclare Casey. L'analyse vidéo a également permis de déterminer d'où les gens regardent le contenu, ce qui témoigne de la nouvelle portée mondiale de la Société de musique de chambre. "D'autres membres de l'organisation comprennent que la vidéo nous permet d'être présents dans le monde entier. Nous ne sommes pas limités au public qui peut venir dans nos salles à New York. Les gens peuvent nous regarder de n'importe où et à n'importe quel moment. J'ai déjà défendu ce point de vue en interne, mais aujourd'hui, c'est encore plus évident.

LE DIRECT ET LE NUMÉRIQUE FONCTIONNENT MIEUX DE CONCERT

Comme toutes les organisations d'arts de la scène, la Chamber Music Society attend avec impatience le jour où les représentations en direct dans la salle de concert pourront reprendre. "Nous recommencerons à nous produire en direct. La question n'est pas de savoir si, mais quand, mais nous sommes prêts", affirme M. Casey. Mais l'année écoulée lui a donné l'occasion, ainsi qu'à son équipe, de repenser la manière dont ils présenteront les futurs concerts de musique de chambre. "Cette année, la diffusion en continu nous a permis de compléter les performances musicales par des introductions de l'artiste ou de nos directeurs adjoints, afin d'ajouter un peu plus de contexte à la performance elle-même. Nous ne le faisions pas nécessairement auparavant. Une fois que nous serons retournés dans la salle de concert et que nous recommencerons à jouer en direct, j'espère que cela nous donnera l'occasion de reconsidérer la manière dont nous présentons ces concerts numériques pour qu'ils deviennent numériques et beaucoup plus uniques et fidèles à la plateforme".

Pour nous tous à Brightcove et pour les mélomanes du monde entier, c'est magnifique.

ÉVÉNEMENTS HYBRIDES : CONVERSATION AVEC CANDICE BOAZ, DES STUDIOS HARTMANN

UNE DISCUSSION SUR LES ÉVÉNEMENTS HYBRIDES, LES ÉCLATS DE CONTENU ET LA NOUVELLE TECHNOLOGIE "SMART STAGE" (SCÈNE INTELLIGENTE)

En début de semaine, j'ai eu l'occasion de rencontrer Candice Boaz de Hartmann Studios, l'un des partenaires de Brightcove pour la production d'événements. Je voulais connaître le point de vue de Candice sur l'évolution des événements virtuels et savoir comment l'équipe de Hartmann Studios aide ses clients à faire un pas de plus vers les événements hybrides.

Découvrez notre conversation ci-dessous pour en savoir plus.

NICK : Candice, merci beaucoup d'avoir pris le temps de me parler. Pourquoi ne pas commencer par parler à nos lecteurs de vous et des Studios Hartmann ?

CANDICE : Super, merci Nick. Je m'appelle Candice Boaz et je dirige le développement des comptes chez Hartmann Studios. Nous travaillons dans le secteur de l'événementiel depuis plus de 35 ans et avons commencé à produire des événements avec des composantes virtuelles importantes et complexes bien avant 2020, lorsque nos clients ont été contraints de faire basculer leurs événements en personne vers le virtuel. Nous offrons des services de production de bout en bout, de la stratégie à l'exécution, pour des entreprises comme Oracle, Samsung et Home Depot. Ce que j'aime le plus dans le secteur de l'événementiel, c'est qu'il y a toujours un nouveau défi créatif à relever.

NICK :...et soyons honnêtes, 2020 a été pleine de défis et de leçons apprises ! Je suis toujours curieux de savoir ce que nos partenaires apprennent de nouveau et quelles sont les stratégies d'engagement des participants qui fonctionnent. En effet, nous savons tous que la fatigue de l'écran est réelle. Comment les studios Hartmann s'attaquent-ils à ce problème ?

CANDICE : Vous avez tout à fait raison, et je vous dirai que nous sommes toujours en train de tester, d'apprendre et d'optimiser. En fait, tout se résume à une planification efficace de l'agenda et à une diffusion rapide de l'information.

L'un des avantages des événements en personne est que vous disposez d'un public captif pendant une période de temps limitée. Dans le cas d'un événement virtuel, ce n'est pas du tout le cas, et votre public peut se désintéresser beaucoup plus rapidement.

Chez Hartmann Studios, nous abordons la planification et l'élaboration de l'agenda pour les événements virtuels sous l'angle du "temps total". L'idée est de fournir de courtes séquences de contenu convaincant, puis de donner à votre public le temps d'intérioriser - ou d'agir en groupe sur l'information lorsqu'il est éloigné de son écran, avant de fournir la prochaine séquence de messages.

Par exemple, pour l'événement virtuel mondial du Climate Reality Project auquel Brightcove et Hartmann Studios ont collaboré, nous avons décidé de transformer la formation intensive de 3 jours en personne et de l'étaler sur 9 jours avec quelques heures de programmation vidéo ciblée chaque jour afin de ne pas épuiser les gens pendant le processus.

NICK : "Le contenu éclate". J'adore ça. Vous parlez mon langage. Nous recevons de plus en plus de demandes de la part de nos clients qui planifient déjà des événements hybrides. Quelle est la philosophie ou l'approche de Hartmann lorsqu'il s'agit de planifier ces événements ?

CANDICE : C'est une excellente question, que l'on nous pose aussi souvent. Chez Hartmann Studios, nous pensons que les événements mémorables et percutants - virtuels et hybrides - doivent toujours inclure 5 éléments clés :

1. Concevoir une expérience très engageante pour le public et les présentateurs

2. Créer des opportunités pour que les gens établissent des liens authentiques et significatifs

3. Insérer des touches personnalisées qui donnent à l'auditoire l'impression d'être un participant actif

4. Développer une vision pour la réutilisation du contenu de manière significative afin d'obtenir un retour sur investissement au-delà de l'événement lui-même.

5. Utiliser un plan de mesure solide - les événements virtuels permettent de réaliser de riches analyses moyennant une planification préalable minutieuse.

La chose la plus importante à retenir pour un événement hybride, qui est souvent négligée, est que vous travaillez avec deux publics différents - les personnes à la maison et les personnes dans la salle - et le plus grand défi est de leur donner l'impression qu'il s'agit d'un seul et même public.

NICK : Je sais que l'équipe des studios Hartmann travaille sur une nouvelle technologie passionnante qui permettra de réaliser des événements hybrides. Que pouvez-vous nous dire ?

CANDICE : Oui, absolument. Je pense que le sentiment que procure le fait d'être face à un public en direct est vraiment quelque chose de spécial, et c'est ce qui pousse notre équipe à relever constamment la barre de l'engagement, du divertissement et de la connexion dans les événements et conférences virtuels que nous produisons. Nous sommes ravis de pouvoir enfin partager notre dernière technologie Smart Stage, qui... eh bien, je pense que la vidéo dit tout !

NICK : C'est passionnant. Et je pense que nous commençons vraiment à voir qu'au fur et à mesure que les attentes pour ces événements deviennent de plus en plus élevées, la vidéo offre des possibilités illimitées.

CANDICE : Oui, la vidéo de haute qualité et à sécurité intégrée est essentielle et c'est l'une des nombreuses raisons pour lesquelles nous recommandons souvent Brightcove à nos clients. L'un des aspects les plus importants d'un événement ou d'une conférence virtuelle est la technologie qui distribue le contenu de nos clients, ce qui influe sur les décisions de production que nous devons prendre. La technologie de base de l'événement doit bien s'intégrer aux autres technologies, et c'est précisément ce que fait Brightcove.

NICK : Candice, avez-vous quelque chose à ajouter sur les événements hybrides ou sur ce qui se passe aux studios Hartmann ?

CANDICE : Voici un conseil que je donnerai à vos lecteurs : les événements virtuels devraient vraiment commencer avant la programmation prévue. Par exemple, quel contenu pouvez-vous partager avec les participants inscrits avant l'événement pour les enthousiasmer ? Mieux encore, comment pouvez-vous donner aux participants une longueur d'avance pour qu'ils se connectent les uns aux autres ? Essayez d'organiser un rassemblement avant le programme où l'hôte et peut-être l'un des orateurs peuvent tenir une session informelle pour préparer les participants à ce qui les attend, comment tirer le meilleur parti de l'événement, et recueillir les questions des participants pour alimenter une partie de votre contenu. Je pense qu'il est de notre responsabilité, en tant que professionnels de l'événementiel et producteurs de programmes, d'innover et de nous adapter pour favoriser une connexion humaine authentique. Il s'agit en fait de rassembler les gens et de leur permettre de se sentir connectés aux autres à un moment où ils en ont le plus besoin.

Si vous prévoyez un événement virtuel ou hybride, nous serions ravis de vous aider. Prenez contact avec nous ici.

OPTIMISER LA VIDÉO POUR LA COMMUNICATION EXTERNE DU GOUVERNEMENT

L'UTILISATION DE LA VIDÉO POUR LES COMMUNICATIONS EXTERNES DU GOUVERNEMENT AFIN D'ÉTABLIR UN LIEN AVEC LA COMMUNAUTÉ

Les récentes perturbations survenues dans notre communauté nous ont rappelé l'importance de la communication externe du gouvernement pour renforcer l'unité et tenir les électeurs informés. Dans notre pays et dans le monde entier, les communautés ont été confrontées à des défis qui nécessitent un soutien rapide et permanent de la part des pouvoirs publics ; il est donc essentiel que nos communications inspirent confiance.

La demande des citoyens pour des messages opportuns de la part du secteur public a conduit à une augmentation significative de l'utilisation de la vidéo. La diffusion en direct et la vidéo à la demande ont toutes deux été utilisées par les services de communication des gouvernements pour partager des informations importantes avec l'ensemble de la communauté. Éliminant la nécessité de diffuser des informations au compte-gouttes dans les services internes, la vidéo permet aux équipes gouvernementales de délivrer un message cohérent directement aux citoyens, en particulier dans les situations qui nécessitent des mises à jour fréquentes.

Pour le ministère de l'Éducation de la Nouvelle-Galles du Sud (NSW) en Australie, la vidéo a joué un rôle de plus en plus important dans sa stratégie de communication en 2020. En utilisant la vidéo pour diffuser en direct des messages importants à 2 200 écoles et à l'ensemble de la communauté scolaire afin de les tenir au courant, le ministère a pu fournir des informations à l'ensemble du personnel, des parents et des élèves de manière rapide et précise.

Pour les écoles de la Nouvelle-Galles du Sud, l'initiative "Schools Video" a fait de la vidéo un élément central de la façon dont elles racontent leurs propres histoires et celles de leurs élèves. En s'appuyant sur le contenu généré par les élèves et le personnel, les écoles de l'État peuvent raconter des histoires authentiques et partager des expériences en créant du contenu vidéo et en le diffusant sur leur site web, leurs réseaux sociaux et leurs canaux internes.

D'autres organismes publics utilisent la vidéo pour accroître la transparence des activités officielles. De nombreux services locaux, étatiques et fédéraux diffusent des réunions en direct, publient des vidéos sur leurs canaux de médias sociaux et s'appuient sur la vidéo pour sensibiliser les communautés.

L'avenir de l'administration étant axé sur la priorité donnée aux administrés et la fourniture de services facilement accessibles sur toutes les plateformes couramment utilisées, le moment est venu pour les organismes du secteur public d'adopter la vidéo comme pierre angulaire d'une communication efficace avec les personnes qu'ils servent.

COMMENT DIFFUSER EFFICACEMENT UNE VIDÉO MULTICODEC

During the last decade, the majority of video streams sent over the Internet were encoded using the ITU-T H.264 / MPEG-4 AVC video codec. Developed in the early 2000s, this codec has become broadly supported on a variety of devices and computing platforms with a remarkable 97.93% reach.

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However, as far as technology is concerned, this codec is pretty old. In recent years – two new codecs have been introduced: HEVC from the ITU-T and MPEG standards groups, and AV1 from Alliance for Open Media. Both claim at least a 50% gain in compression efficiency over the H.264/AVC.

In theory, such gains should lead to a significant reduction in the costs of streaming. However, in practice, these new codecs can only reach particular subsets of the existing devices or web browsers. HEVC for example reportedly only has a reach of 18.73%, pointing mostly to Apple devices, and devices with hardware HEVC support. The AV1’s support among web browsers is higher, but notably, it is not supported by Apple devices and most existing set-top box platforms.

Picture2

This situation begs the question: Given such a fragmented support of new codecs across different devices, how do you design a streaming system to reach all devices and with the highest possible efficiency?

In this blog post, we will try to answer this question by introducing the concept of multi-codec streaming and explaining key elements and technologies that we have engineered to support the Brightcove Video Cloud platform.

ADAPTIVE BITRATE STREAMING 101

Before we start talking about multi-codec streaming, let’s briefly review the main principles of the operations of modern-era Adaptive Bit-Rate (ABR) streaming systems. We show a conceptual diagram of such a system in the figure below. For simplicity, we will focus on the VOD delivery case.

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When a video asset is prepared for ABR streaming, it is typically transcoded into several renditions (or variant streams). Such renditions typically have different bitrates, resolutions, and other codecs- and presentation-level parameters.

Once all renditions are generated, they are placed on the origin server. Along with the set of renditions, the origin server also receives a special manifest file, describing the properties of the encoded streams. Such manifests are typically presented in HLS or MPEG DASH formats. The subsequent delivery of the encoded content to user devices is done over HTTP and by using a Content Delivery Network (CDN), ensuring the reliability and scalability of the delivery system.

To play the video content, user devices use special software, called a streaming client. In the simplest form, a streaming client can be JavaScript run by a web browser. It may also be a custom application or a video player supplied by the operating system (OS). But regardless of the implementation, most streaming clients include logic for adaptive selection of streams/renditions during playback.

For example, if the client notices that the observed network bandwidth is too low to support real-time playback of the current stream, it may decide to switch to a lower bitrate stream. This prevents buffering. Otherwise, if there is sufficient bandwidth, the client may choose to switch to a higher bitrate, meaning a higher quality stream, and leads to a better quality of experience. This logic is what makes streaming delivery adaptive. It is also the reason why videos are always transcoded into multiple (typically 5-10) streams.

The system depicted in the above diagram has two additional components: The analytics system, which collects the playback statistics from CDNs and streaming clients, and the ABR encoding ladder generator, defining the number and properties of renditions to create. In the Brightcove Video Cloud system, this block corresponds to our Context-Aware Encoding (CAE) module.

ENCODING LADDERS AND QUALITY ACHIEVABLE BY THE STREAMING SYSTEM

Let us now consider an example of an encoding ladder that may be used for streaming. This particular example was created by Brightcove CAE for action movie video content.

Screen Shot 2021-03-23 at 8.37.41 AM

As easily observed, the encoding ladder defines five streams, enabling delivery of video with resolutions from 216p to 1080p and using about 260 to 4200Kbps in bandwidth. All streams are produced by the H.264/AVC codec. The last column in this table lists perceived visual quality scores as estimated for playback of these renditions on a PC screen. These values are reported using the Mean Opinion Score (MOS) scale. MOS score five means excellent quality, while score one means that the quality is bad.

We next plot (bitrate, quality)- points corresponding to renditions, as well as the best quality achievable by the streaming system with varying network bandwidth. This becomes a step function, shown in blue.

Picture3

In the above figure, we also include a plot of the so-called quality-rate model function [1-3], describing the best possible quality values that may be achieved by the encoding of the same content with the same encoder. This function is shown by a dashed red curve.

As can be easily grasped, with a proper ladder design, the rendition points become a subset of points from the quality-rate model, and the step function describing quality achievable by streaming becomes an approximation of this model. What influences the quality of the streaming system is the number of renditions in the encoding ladder, as well placement of renditions along the bandwidth axis. The closer the resulting step function is to the quality-rate model – the better the quality that can be delivered by the streaming system.

What this all means is that encoding profiles/ladders for ABR streaming must be carefully designed. This is the reason why most modern streaming systems employ special profile generators to perform this step dynamically, by accounting for properties of the content, networks, and other relevant contexts.

Additional details about mathematical methods that can be employed for the construction of quality-rate models and the generation of optimal encoding ladders can be found in references [1-5].

MULTI-CODEC STREAMING: MAIN PRINCIPLES

Now that we’ve explained key concepts, we can turn our attention to multi-codec streaming.

To make this more specific, let’s consider an example of an encoding ladder, generated using two codecs: H.264/AVC and HEVC. Again, Brightcove CAE was used to produce it.

Screen Shot 2021-03-23 at 8.38.05 AM

The plots of rendition points, quality-rate models, and quality achievable by streaming clients decoding H.264 and HEVC streams are presented in the below figure.

Picture4

As easily observed, the quality-rate model function for HEVC is consistently better than the quality-rate model for H.264/AVC. By the same token, HEVC renditions should also deliver better quality-rate tradeoffs than renditions encoded using H.264/AVC encoder.

However, considering that there are typically only a few rendition points and they may be placed sparsely and in an interleaved pattern, this may create regions of bitrates, where H.264/AVC renditions may deliver better quality than nearest HEVC rendition of smaller or equal bitrate. Such regions in the above figure are seen when step-functions for H.264/AVC clients go above the same functions for HEVC clients.

What does this mean? It means that with a two-codec ladder decoding of only HEVC-encoded streams does not automatically result in the best possible quality! Even better quality may be achieved by clients that selectively and intelligently switch between both H.264/AVC and HEVC streams. We illustrate quality achievable by such “two-codec clients” in the graphic below.

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In this example, the two-codec client can make nine adaptation steps instead of just five in HEVC or H.264-only ladders. This enables better utilization of the available network bandwidth and delivery of better quality overall.

MULTI-CODEC FUNCTIONALITY SUPPORT IN EXISTING STREAMING CLIENTS

As we just saw the ability of the streaming client not only to decode but also intelligently and seamlessly switch between H.264/AVC and HEVC streams is extremely important. This leads to better quality and allows for fewer streams/renditions to be generated, reducing the costs of streaming.

However, not all existing streaming clients have such a capability. The best known examples of clients doing it well are native players in recent Apple devices: iPhones, iPads, Mac computers, etc. They can decode and switch between H.264/AVC and HEVC streams seamlessly. Recent versions of Chrome and Firefox browsers support the so-called change Type method, which technically allows JavaScript-based streaming clients to implement switching between codecs.

Streaming clients in many platforms with hardware decoders, such as SmartTVs, set-top boxes, etc. can only decode either H.264/AVC or HEVC streams, and won’t switch to another codec during a streaming session. And naturally, there are plenty of legacy devices that can only decode H.264/AVC – encoded streams.

This fragmented space of streaming clients and their capabilities must be accounted for at the stage of encoding ladder generation, by properly defining HLS and DASH manifests, and design of the delivery system for multi-codec streaming. In the next section, we will briefly review how we addressed all these challenges in the Brightcove Video Cloud platform.

MULTI-CODEC SUPPORT IN BRIGHTCOVE VIDEOCLOUD PLATFORM

Brightcove Video Cloud is an end-to-end online video platform that includes all the building blocks of the ABR streaming system that we’ve reviewed in this blog post.

For example, encoding ladder generation in this system is done by using Brightcove CAE technology. For the user/operator of the system, it manifests itself by the presence of several pre-configured CAE ingest profiles enabling H.264-, HEVC-, as well as mixed-codec- streaming deployments.

Screen Shot 2021-03-23 at 8.38.40 AM

When the Multiplatform Extended HEVC (CAE) mixed-codec ingest profile is selected, the result will be a mixed codec ladder, with both H.264 and HEVC streams present. This profile can produce from three to 12 output streams for both codecs, covering the range of resolutions from 180p to 1080p and with bitrates in the range of 250Kbps to 4200Kbps. The CAE profile generator defines everything else automatically, based on characteristics of the content as well as playback statistics observed for the account.

In Video Cloud, the manifests and media segments are produced according to a variety of streaming standards and profiles (e.g. HLS v3, HLS v7, MPEG DASH, Smooth, etc.). These are all generated dynamically, based on the preferences and capabilities of the receiving devices. Furthermore, certain filtering rules (delivery rules) may also be applied. For example, if a playback request is coming from a legacy device that can only support H.264/AVC and HLS v3 format of streaming, it will be only offer a HLS v3 manifest along with TS-based segments, and they will only include H.264/AVC encoded streams.

On the other hand, for newer devices capable of deciding both H.264/AVC and HEVC streams, the delivery system may produce a manifest including both H.264/AVC- and HEVC-encoded streams. The declaration of mixed codec streams in manifests is done according to the HLS and DASH-IF deployment guidelines. I show conceptual examples of such declarations below.

Screen Shot 2021-03-23 at 8.38.40 AM

As observed, in HLS, mixed codec renditions can be included in the natural order in the master playlist. In MPEG DASH, however, they must be listed separately, in different adaptation sets, sorted according to each codec. To enable switching between mixed-codec renditions in DASH, a special SupplementalProperty descriptor is included in each adaptation set.

To assist clients in making the right decisions in switching between streams encoded using different codecs, special relative quality attributes can be used. In HLS, they are called SCORE attributes, with higher values indicating better quality. In MPEG DASH, they are called “Quality Ranking” attributes, but now with lower values indicating better quality. However, both of these attributes are optional and supported only by a few existing client devices. To make sure that all devices/clients don’t get confused in switching between multi-codec streams in Brightcove Video Cloud offers a manifest filtering option that leaves only renditions with progressively increasing quality values in the final manifests visible by the clients.

The final delivery of multi-codec streams in Video Cloud is handled by a two-level CDN configuration, ensuring high efficiency (low origin bit rate) and high scale and reliability of delivery of the streams. More details about various configurations and optimization techniques employed by the Brightcove Video Cloud can be found in our recent paper [3] or Brightcove product documentation.

CONCLUSIONS

With a combination of all described features and tools for multi-codec streaming support, enabling and deploying it with Brightcove Video Cloud can be done in a matter of minutes.

If you are delivering a high volume of streams to Apple devices or other HEVC-capable mobiles and set-top boxes – enabling the use of HEVC and multi-codec streaming can offer a considerable reduction in CDN traffic/costs, without compromising reach to legacy devices.

The tools that we have engineered ensure that such deployments will happen with minimum deployment costs and ensuring high quality and reliability of reaching all devices.

RÉFÉRENCES

[1] Y. Reznik, K. Lillevold, A. Jagannath, J. Greer, and J. Corley, “Optimal design of encoding profiles for ABR streaming,” Proc. Packet Video Workshop, Amsterdam, The Netherlands, June 12, 2018. [2] Y. Reznik, X. Li, K. Lillevold, A. Jagannath, and J. Greer, “Optimal Multi-Codec Adaptive Bitrate Streaming,” Proc. IEEE Int. Conf. Multimedia and Expo (ICME), Shanghai, China, July 8-12, 2019. [3] Y. Reznik, X. Li, K. Lillevold, R. Peck, T. Shutt, and P. Howard, “Optimizing Mass-Scale Multiscreen Video Delivery,” SMPTE Motion Imaging Journal, vol. 129, no. 3, pp. 26 – 38, 2020. [4] Y. Reznik, “Average Performance of Adaptive Streaming,” Proc. Data Compression Conference (DCC’21), Snowbird, UT, March 2021. [5] Y. Reznik, “Efficient multi-codec streaming” – talk at HPA Tech Retreat 2021

Quelles sont les conditions d'une plateforme de distribution vidéo essentielle au succès des "événements en ligne" ?

Lorsqu'il s'agit d'événements en ligne, il est important de choisir un système capable de diffuser des vidéos et du son de haute qualité sans stress, tout en étant capable d'obtenir des données de visionnage pour chaque participant. Dans cet article, nous vous présentons une plateforme de distribution vidéo qui vous aidera à organiser un événement en ligne réussi.

LIVE LINEAR CLOUD PLAYOUT : L'AVENIR DE LA TÉLÉVISION GRATUITE FINANCÉE PAR LA PUBLICITÉ

Bien que presque tout le monde soit abonné à un service de diffusion en continu de nos jours (la personne moyenne est abonnée à 4-6 applications), il y a quelque chose à dire sur le fait de s'enfoncer dans le canapé, d'allumer la télévision et de profiter de ce qui est diffusé. C'est ce qui explique l'essor considérable de FAST (free ad-supported streaming TV), qui offre de nouvelles possibilités aux téléspectateurs, aux annonceurs, aux radiodiffuseurs et aux fournisseurs de contenu.

La table ronde virtuelle de Brightcove, intitulée " How Live Linear Cloud Playout Is Changing The Game ", a exploré les nombreux avantages de FAST et ce que l'avenir lui réserve.

  • Rebeca Avery, responsable des opérations de contenu chez Local Now
  • Damian Pelliccione, PDG et cofondateur de Revry
  • Madhu Somasundaram, directeur de la gestion du contenu chez VIZIO

Voici quelques-uns des sujets abordés par nos experts pour vous aider à tirer le meilleur parti des services de diffusion en continu financés par la publicité.

LA RAPIDITÉ EST LÀ POUR DURER

C'est ainsi que nous regardons tous la télévision, et même si la technologie évolue, ce comportement est tout simplement ancré en chacun de nous. FAST a un attrait universel pour de multiples raisons.

  • Tout le monde n'a pas les moyens de s'abonner, ne serait-ce qu'une fois, et le contenu gratuit financé par la publicité a donc un impact.
  • Les téléspectateurs évitent les recherches interminables et les questions du type "qu'allons-nous regarder ?".
  • Avec la popularité croissante des téléviseurs intelligents, il suffit de se connecter au WiFi pour bénéficier de plus de 100 chaînes gratuites.
  • Elle propose des genres entiers de contenu, des films aux sports et à la musique en direct, en passant par les langues étrangères.

APPEL AUX ANNONCEURS

De plus en plus d'annonceurs augmentent leurs budgets numériques, conscients de l'efficacité et de la portée de la diffusion en continu financée par la publicité.

  • Le public se montrera fidèle à une chaîne, y revenant sans cesse comme une habitude quotidienne.
  • Les audiences peuvent être ciblées et monétisées en fonction du contenu qu'elles choisissent.
  • Les annonceurs ont le choix entre des superpositions, des tiers inférieurs, des insertions dynamiques, etc.
  • L'expérience publicitaire unique et personnalisée améliore la visualisation pour les consommateurs
  • FAST s'intègre facilement à l'ad tech, ce qui rend l'expérience plus transparente.

CONTENU ET PROGRAMMATION

FAST permet aux médias et aux marques de créer, d'organiser et de diffuser des contenus qui suscitent l'intérêt du public de différentes manières.

  • Il offre la possibilité de former un partenariat de contenu, d'obtenir l'avis d'un partenaire de contenu et d'explorer la meilleure façon de le programmer pour le public.
  • Rassembler du contenu sur un sujet donné auprès de plusieurs fournisseurs spécialisés, puis le présenter de manière unique.
  • Les partenaires peuvent proposer leurs propres actifs individuels qui peuvent être regroupés et présentés.
  • Les chaînes de séries uniques offrent des expériences d'arrière-plan de type "binge" que de nombreux téléspectateurs apprécient.

CONNAÎTRE SON PUBLIC

L'approche ciblée et intentionnelle de la création de canaux rapides offre une capacité inégalée à comprendre votre public et à avoir une vision claire de ses comportements.

  • Comprendre les caractéristiques démographiques des partenaires permet d'éclairer les décisions de programmation.
  • La télévision intelligente et l'application mobile peuvent offrir deux publics très différents
  • Les technologies telles que la reconnaissance automatisée des contenus offrent des informations précieuses sur les téléspectateurs.
  • Voyez comment votre contenu se comporte par rapport à d'autres modèles de visionnage tels que la SVOD.
  • Il ne s'agit pas de créer un flux ou de diffuser des films au hasard, mais d'avoir un plan et un objectif.

À mesure que la diffusion en continu avec publicité continue d'évoluer et de se normaliser, les meilleures pratiques et stratégies évolueront également, élevant cette approche de visionnage au rang d'art à part entière, car elle permet de fournir un contenu frais et attrayant à un public de plus en plus nombreux. La plate-forme vidéo robuste de Brightcove est l'un des principaux moteurs de cette dynamique et nous sommes très enthousiastes quant à l'avenir de FAST.

4 PRÉVISIONS SUR L'ÉVOLUTION DES ÉVÉNEMENTS VIRTUELS

La nature des événements virtuels a radicalement changé au cours de l'année écoulée, et elle continuera d'évoluer à mesure que les attentes du public continueront d'augmenter et que la durée d'attention sera de plus en plus sollicitée.

J'ai eu la chance de rencontrer David Moricca, PDG de Socialive, une société partenaire de Brightcove, pour connaître son point de vue sur l'évolution des événements virtuels en 2021.

"Je pense que le fait d'être prescriptif dans vos événements virtuels va être essentiel", déclare Moricca. "Votre événement virtuel n'est pas une réunion Zoom. Il doit s'agir d'une expérience de contenu prescriptif au cours de laquelle vous partagez des informations importantes et répondez également aux questions du public.

Selon Moricca, les événements virtuels évolueront dans quatre domaines au cours de l'année à venir.

NOUS VERRONS DES ÉVÉNEMENTS PLUS COURTS À DES FRÉQUENCES PLUS ÉLEVÉES

"Je pense que l'idée selon laquelle chaque événement doit être une session d'une journée entière est en train de disparaître. En fait, je pense que nous allons assister à une compression en segments plus courts et plus fréquents. Je pense que nous pourrions voir plus de gens passer à des sessions multiples, mais seulement deux heures par jour, ou à une session thématique sur plusieurs jours. Nous savons tous que la durée d'attention des gens dans un environnement virtuel est beaucoup plus courte, surtout avec huit heures d'appels Zoom par jour, ce qui nous oblige vraiment à être un peu plus rapides avec le contenu et à ne pas essayer de submerger les gens avec trop de choses".

-METTEZ CELA EN ACTION: si vous prévoyez un événement virtuel d'une journée entière, envisagez de le comprimer en sessions plus courtes réparties sur plusieurs jours si le contenu est destiné à être séquentiel. Essayez de limiter la durée des sessions à 20 ou 30 minutes au maximum afin que les participants restent engagés, et veillez à bien faire ressortir les trois messages clés auxquels vous voulez que votre public réfléchisse ou qu'il retienne.

NOUS VERRONS DAVANTAGE D'EXPÉRIENCES DE CONTENU VIDÉO DYNAMIQUE

"Je pense que le public est également à la recherche d'environnements vidéo plus interactifs et plus dynamiques, surtout si l'on tient compte de ce que nous constatons avec la fatigue de Zoom. Les gens s'attendent davantage à une diffusion de type CNN pour leurs événements virtuels, avec des éléments plus dynamiques, comme la vidéo, les graphiques et les formats d'écran divisé. Je pense également que l'idée d'une discussion au coin du feu ou d'un panel avec plusieurs personnes, qui offrent des points de vue différents ou qui viennent d'angles différents sur le marché, crée une expérience plus dynamique et intéressante par nature".

-METTEZ CELA EN ACTION: chaque fois que possible, trouvez des occasions d'intégrer des éléments dynamiques dans une séquence, par exemple en coupant un clip vidéo pour interrompre un groupe de discussion, ou en créant des graphiques à l'écran avec des appels à l'action spécifiques ou un récapitulatif des principaux enseignements.

NOUS VERRONS DE NOUVELLES INNOVATIONS EN MATIÈRE D'ENGAGEMENT DU PUBLIC

"Je pense que les plates-formes d'événements virtuels, comme Brightcove, vont se montrer plus innovantes quant à la manière de susciter de nouvelles formes d'engagement de la part du public. Les salles de réunion avec Chatroulette sont intéressantes, mais je pense qu'il y en aura d'autres. Je pense que l'engagement sera beaucoup plus réfléchi et que nous commencerons à voir des environnements plus intimes et engageants pour les gens, qui sont plus interparticipatifs et qui amènent les gens à participer à l'expérience pour en faire une expérience plus authentique et bidirectionnelle.

METTEZ CELA EN ACTION: Examinez l'ensemble de votre spectacle et identifiez les moments clés au cours desquels il pourrait être utile ou intéressant pour votre public de l'ouvrir à la participation, qu'il s'agisse d'un chat en direct, d'un sondage rapide ou d'une séance de questions-réponses. L'interactivité renforce l'engagement.

L'ACCENT SERA DAVANTAGE MIS SUR LA STRATÉGIE DE CONTENU POST-ÉVÉNEMENT

"Pour les événements physiques, l'accent a toujours été mis sur la promotion de l'événement pour stimuler les inscriptions, et sur l'événement lui-même. Mais la stratégie de contenu post-événement a été négligée. Je pense qu'il est tout aussi important, lors de l'élaboration d'une stratégie événementielle, de définir la stratégie de contenu après l'événement. Surtout dans un monde virtuel, où vous allez produire et capturer toutes ces sessions formidables avec des pépites étonnantes que vous pourrez ensuite réutiliser et partager. Tout ce contenu est très puissant lorsque vous le distribuez sur les réseaux sociaux, numériques et autres canaux organiques. C'est là que vous pouvez obtenir le plus grand nombre de clients".

-MISE EN ACTION: lorsque vous commencez à planifier votre événement, réunissez tout le monde - les responsables des ventes, du marketing, du contenu et des événements - pour déterminer ce que chaque équipe souhaite accomplir avant, pendant et après l'événement. Ensuite, planifiez méthodiquement les outils d'aide à la vente et les supports marketing qui peuvent être utilisés après l'événement pour les e-mails de suivi, les ventes sortantes, les médias sociaux et le marketing numérique.

Si vous prévoyez un événement virtuel ou hybride, n'oubliez pas de télécharger notre Guide définitif des événements virtuels.

La clé de la "collecte des réponses aux enquêtes", qui est plus difficile que les événements hors ligne

Que ce soit en ligne ou hors ligne, il est très important de recueillir les questionnaires des participants. Toutefois, le taux de réponse aux questionnaires tend à être plus faible pour les événements en ligne que pour les événements hors ligne. Les questionnaires sont des données très importantes qui peuvent être utilisées pour améliorer le contenu et servir de référence lors du suivi des participants. Nous allons voir comment augmenter le taux de réponse aux questionnaires pour les événements en ligne.

3 CONSEILS POUR ORGANISER DES ÉVÉNEMENTS VIRTUELS CONVAINCANTS

Talkdesk existe pour aider les entreprises à développer l'amour de la marque et la fidélité des clients grâce à des services et des expériences exceptionnels, le tout par le biais d'une solution de centre de contact native dans le nuage.

Lors de la planification de 2020, l'équipe de Talkdesk s'est fixé l'objectif ambitieux de lancer "20 produits en 20 semaines", puis de présenter ces nouveaux produits lors de leur conférence clients en personne à San Francisco. Mais nous savons tous ce qui s'est passé ensuite.

"Comme tout le monde, nous avons dû passer d'un événement en personne à un événement virtuel", explique Kathie Johnson, directrice marketing de Talkdesk. J'ai simplement dit à mon équipe : "Les amis, personne ne peut faire cela comme les spécialistes du marketing. Nous sommes des innovateurs, des penseurs créatifs qui sortent des sentiers battus. Si quelqu'un peut résoudre ce problème, c'est bien nous".

Malgré la nécessité de pivoter rapidement, Mme Johnson a maintenu l'attention de son équipe sur les objectifs initiaux de l'événement : annoncer de nouveaux produits, impliquer les clients et former de nouvelles personnes à Talkdesk.

OpenTalk 2020, fièrement diffusé par Brightcove, a finalement attiré trois fois plus de participants que les précédentes conférences clients en personne. "Nous avons également constaté que les participants venaient du monde entier, explique M. Johnson, et que des personnes qui n'avaient peut-être jamais eu l'occasion d'assister à une conférence auparavant y participaient.

Pour Mme Johnson et son équipe, les événements virtuels combinent l'urgence qui caractérise les événements en personne et la possibilité de diffuser un contenu précieux à la demande, pour que d'autres personnes puissent le regarder quand elles le souhaitent.

Les événements virtuels sont aussi l'occasion d'éprouver de la fierté. "En réalité, [un événement virtuel] est l'occasion pour vos clients de venir et de s'engager, pour les prospects de créer une étincelle d'intérêt pour vous, et pour vos employés d'être incroyablement fiers de l'entreprise pour laquelle ils travaillent".

Cette année, M. Johnson prévoit d'organiser encore plus d'événements virtuels. Si vous considérez la conférence comme l'approche "d'un à plusieurs", nous nous orientons également vers une approche "d'un à quelques" pour les événements virtuels. Il s'agit donc de créer un grand nombre d'événements exécutifs très restreints et intimes", explique-t-elle.

Si vous prévoyez un événement virtuel, voici trois conseils à prendre en compte.

1. CONCEVEZ VOTRE ÉVÉNEMENT DE MANIÈRE À CE QU'IL SOIT "RICHE EN PRODUCTION"

"L'une des choses que nous avons décidé de faire, c'est d'en faire une production", explique M. Johnson. "Si vous êtes comme moi, vous avez assisté à des événements où la production était vraiment médiocre, où il était vraiment difficile de s'engager, et en tant que spécialiste du marketing, j'ai juste... oh mon cœur se brisait en pensant aux spécialistes du marketing qui étaient impliqués dans cet événement".

Elle a donc veillé à investir dans la production dès le début. "Mais cela ne veut pas forcément dire que c'est cher", précise-t-elle. "Il s'agit de faire en sorte que les gens soient heureux de participer à cet événement. Pour Mme Johnson, les participants doivent se sentir pris en charge. "Une fois que les gens viennent, ils doivent sentir que vous avez fait l'effort d'établir un lien avec eux et qu'ils ont envie d'être là.

2. CRÉER UN SENTIMENT DE COMMUNAUTÉ

"Il faut également veiller à ce que les gens se sentent en communauté", ajoute-t-elle. "Assurez-vous qu'il y a un moyen d'interagir les uns avec les autres et que vous ne vous contentez pas de parler aux gens, mais que vous vous engagez réellement avec eux.

M. Johnson était convaincu qu'il fallait favoriser une connexion d'homme à homme grâce à des interactions intégrées utilisant Brightcove.

"Nous avons fait beaucoup de sondages, nous avons posé beaucoup de questions, nous avons fait beaucoup d'interaction et d'engagement pendant l'événement. J'ai vraiment eu l'impression que nous avions créé un environnement dans lequel les gens voulaient rester et même revenir.

3. GARDEZ LE CONTENU À GRIGNOTER ET VEILLEZ À LE RÉUTILISER.

"On n'obtient pas d'engagement avec de longs monologues", prévient M. Johnson. "Votre contenu ne doit pas être si long que les gens n'ont pas envie d'y revenir. Et l'engagement ne doit pas s'arrêter à la fin de l'événement. "Je voulais vraiment aider nos clients à comprendre tout ce qui concerne la transformation de l'entreprise et les nouvelles solutions que nous lancions, et leur donner l'occasion de continuer à apprendre et à s'engager avec nous à l'avenir", dit-elle.

Inspiré par Netflix et Ted Talks, Johnson s'est assuré de considérer le contenu de son événement de manière holistique afin que tout puisse être réutilisé et vivre au-delà de l'événement lui-même. "Nous voulions vraiment réfléchir à la manière de créer un contenu qui ne soit pas seulement essentiel sur le moment, mais que nous puissions également utiliser plus tard pour continuer à dialoguer avec les clients de manière continue. Nous avons pris la vidéo de l'événement et lancé une toute nouvelle série de contenus sur des sujets différents chaque semaine, à la manière de Netflix".

Si vous prévoyez un événement virtuel ou hybride, nous serions ravis de vous aider. Prenez contact avec nous ici.